PRIMES A LA 16e SECTION, QUE DEVONS NOUS COMPRENDRE ?

Depuis plusieurs années les primes sont distribuées au compte-gouttes et sans lien avec le travail effectivement fourni et bien accompli.

Ces primes ne suivent pas les appréciations et encore moins le coût de la vie au cours des années écoulées.

SUR LE DOS DE QUI SE FAIT
CETTE ÉCONOMIE ?

Sur les salariés bien sûr et à commencer par ceux dont les revenus sont les plus modestes, ceux qui n’osent pas réclamer.

Ceci doit cesser, les primes doivent augmenter, le travail effectué doit être reconnu et respecté par la rémunération.

Une fois de plus, les agents de la 16e ont été lésés.

L’argent non versé
retournera t-il à Diderot discrètement ?

La direction générale maintient une totale opacité de l’usage des primes et invite les directions des établissements à faire des économies que celles-ci vont appliquer avec zèle pour se faire bien voir.

Pendant ce temps, les loyers restent à payer, le niveau de vie baisse et le coût de la vie ne tient pas compte de la baisse des primes !

La CGT demande un Minimum Indemnitaire Garanti de 300 euros mensuels pour tous et sans conditions, la transparence de l’usage des primes, l’augmentation des avantages indirects (loisirs, AGOSPAP etc.) actuellement réduits au minimum.

Les salariés de la collectivité territoriale de la région la plus chère de France ne peuvent plus supporter une politique salariale au rabais qui se traduit par une véritable discrimination sociale et une diminution de plus en plus grande de leur pouvoir d’achat.

Les adjoints administratifs de 2ème et de 1ère classe attendent une prime communale de 475€ en février, les principaux de 600€. Quelle sera la mauvaise surprise ?

Nous invitons à discuter de tout cela entre collègues pour faire naître une revendication déterminée et construire un mouvement dont la direction générale et la municipalité devront tenir compte.

Seule notre mobilisation et notre détermination pourront changer les choses.

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Accéder aux taux moyens des primes des catégories C…