● APS, Avancement au minimum dans l'échelon, Ratios, Indice terminal 499 pour tous les agents de la catégorie C...




Il faut accélérer, Mr Le Maire !





Après une mobilisation de prés de 9% de grévistes le 29 Novembre 2011, à l’appel de la CGT, le Maire de Paris tarde à apporter des réponses concrètes à nos revendications. 

Tout juste une réflexion sur une éventuelle augmentation de l’Allocation Prévoyance Santé. 

A ce propos, la CGT a obtenu l’organisation d’une réunion pour les retraités de nos services sur l’APS, le mercredi 25 Janvier 2012 et la mise en place d'un calendrier d’ici le printemps 2012 sur : 

  •  l’avancement au minimum dans l’échelon, 
  •  la révision des ratios, 
  •  la possibilité pour les agents de la catégorie C d’accéder à l’indice terminal 499 sans barrière de choix mais à l’ancienneté pour tous. 

Sur la loi de déprécarisation votée courant du 1er trimestre 2012, le Maire fait un vœu personnel en parlant de cohésion sociale et de solidarité. 

C’est une grande fumisterie ! Il s’agit de contrats rompus, de redéploiement de postes budgétaires, de suppression de postes pérennes, qui visent la stabilité du budget de la Ville en matière de masse salariale, avec toujours le même objectif : travailler plus avec moins de personnels et pour un salaire gelé depuis deux ans. 

La CGT revendique : 
  • Ratios à 100% 
  • Augmentation de l’APS annuelle. 
  • Augmentation de l’APS mensuelle et élargissement du faisceau indiciaire. 
  • Avancement minimum dans l’échelon. 
  • Obtention d’un 13ème mois en prime de 1500 euros. 
  • Salaire à 1700 euros de départ. 
  • Plan de dé-précarisation. 
  • Passage systématique à l’indice 499 pour l’ensemble des corps de catégories C sans critère de choix pour ceux remplissant les conditions. 
  • Octroi du ticket restaurant pour les personnels soumis à contraintes imposées par le service public. 

Il faut dire stop au Maire ! 

Ce n’est ni par le courrier qu’il nous a adressé ces derniers jours, ni par les vœux qu’il a exprimé qu’il parviendra à montrer sa vraie reconnaissance, mais en répondant concrètement à nos revendications.