● N'est pas délateur qui veut… FO sollicite l'administration pour sanctionner La CGT !!!


La CGT, dans un communiqué du 18/06/2012 relatait le déroulement de la CAP d'avancement au grade d'adjoint administratif principal de 2ème classe et, pour un minimum de transparence sur ces commissions, affichait les propositions à l’ancienneté faites par les élus des syndicats.
La vérité sur les CAP dérange, FO n'y répondit pas et pour cause... aucun élément de réponse pour justifier le clientélisme qu'il pratique en CAP. Alors FO dans un tract du 18/06/2012 préfère faire de la délation en attaquant violemment la CGT et en demandant à la direction du CASVP de sanctionner les élus CGT. Celle-ci a donc entendu l'appel de FO et nous rappelle à l'ordre en date du 25/06/2012 (voir le fichier joint).

« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire » 
George ORWELL

DROIT de RÉPONSE et de DÉFENSE

La CGT est attaquée de façon facile et sans vergogne…cela nous grandit.
FO nous accuse de délation et agit d’une manière pire qu’il est supposé dénoncer.

FO dénonce donc, parce qu’il ne sait pas faire autrement ni plus intelligemment.
Dénoncer des collègues syndicalistes qui n’ont d’autres soucis que la vérité auprès des agents, dénote une certaine impuissance et un abandon de devoirs :
  • Devoir de responsabilité syndicale face à l'administration,
  • Devoir de transparence vis-à-vis des agents,
  • Devoir de défendre des agents qui n'ont pu prétendre à un seul avancement de grade durant toute leur carrière.
Malgré les divergences d’opinions, malgré les différences méthodologiques, la CGT a toujours fait preuve de respect pour les autres syndicats et d’intelligence dans les rapports.

Il y a des règles de déontologie à ne pas transgresser, le faire c’est se mettre en danger, et par irresponsabilité, ne pas mesurer les conséquences sur les autres…

Au delà du droit de réponse, au-delà du droit aux excuses, la diffamation, qui est un acte grave, s’impose et exige de ses détracteurs la preuve intangible des allégations avancées, à défaut de s’exposer à une condamnation qui sera sans doute inutile mais non moins méritée, si les choses restaient en l’état.

Mais elles n’en resteront pas en l’état, car la CGT ira jusqu’au bout de l’histoire, et d’abord, exige les noms de ceux qui sont dénoncés comme «emplois fictifs», et d’apporter la preuve de ces assertions, sous peine de tomber sous le coup d’une plainte pour diffamation pour destruction d’image auprès des instances et agents publics.