En effet, certains collègues des restos solidaires en CHRS n’étaient carrément pas couvert, et dans tous les cas on leur promettait une moitié de prime.
La CGT a saisi l’administration dès le 13 juillet 2024 pour demander que l’intégralité de cette prime soit appliquée dans les restaurants solidaires implantés au sein des CHRS Pauline Roland et Baudricourt, qui jusqu’à ce jour ne percevaient rien.
L’administration envisageait de verser 70 € aux collègues, mais pas 140 €.
De plus, les agents d’accueil de Baudricourt n’étaient pas inclus dans le périmètre des agents concernés par cette prime.
Une pétition signée par l’ensemble des collègues a été déposée à la Direction : les équipes se sont engagées à faire valoir leur droit de grève à partir du 30 juillet pour obtenir l’égalité de traitement.
La CGT a déposé un préavis de grève
et a été reçue lundi 29 juillet 2024
La Direction Générale a accédé à nos principales revendications
- Une indemnité de Fonction identique à tous les restaurants solidaires soit 140 € bruts
- Que l’ensemble des 15 agents à l’accueil de Baudricourt soient inclus.
Moralité : avant de signer et de crier victoire, il faut s’intéresser aux collègues, ne pas leur mentir avec des communications tonitruantes et surtout ne pas se précipiter. Les collègues savent tous compter…
La CGT est soulagée de ne pas avoir à organiser une grève qui aurait gravement impacté la délivrance des repas aux usagers qui sont dans le besoin. La CGT se félicite que l’argument de l’égalité ait enfin été entendu par notre Direction Générale.
Il n’est jamais facile de prendre la décision de faire grève quand on travaille pour un public en détresse.
Le monde du social et du médico-social est exigeant en termes d’engagement. Oui, nous travaillons pour porter assistance, soigner, nourrir, loger des personnes en difficulté.
Cependant, nous sommes des travailleuses et travailleurs, et comme les autres, notre seule arme c’est la grève.
- Une indemnité de Fonction identique à tous les restaurants solidaires soit 140 € bruts
- Que l’ensemble des 15 agents à l’accueil de Baudricourt soient inclus.
Moralité : avant de signer et de crier victoire, il faut s’intéresser aux collègues, ne pas leur mentir avec des communications tonitruantes et surtout ne pas se précipiter. Les collègues savent tous compter…
La CGT est soulagée de ne pas avoir à organiser une grève qui aurait gravement impacté la délivrance des repas aux usagers qui sont dans le besoin. La CGT se félicite que l’argument de l’égalité ait enfin été entendu par notre Direction Générale.
- Les 42 agents du CHRS Baudricourt servent 500 repas par jour en moyenne.
- Les 13 agents du CHRS Pauline Roland servent 300 repas par jour en moyenne.
Il n’est jamais facile de prendre la décision de faire grève quand on travaille pour un public en détresse.
Le monde du social et du médico-social est exigeant en termes d’engagement. Oui, nous travaillons pour porter assistance, soigner, nourrir, loger des personnes en difficulté.
Cependant, nous sommes des travailleuses et travailleurs, et comme les autres, notre seule arme c’est la grève.
Conditions de travail, effectifs, salaire :
avec la CGT on s’organise !
La CGT a contribué au succès électoral du Nouveau Front Populaire, et exige de la Ville de Paris (dont la majorité municipale est constituée par des forces politiques qui sont toutes au NFP) un programme progressiste : salaires, effectifs, conditions de travail, temps de travail. C’est dans cette perspective que la CGT veut négocier, pas pour gérer la pénurie.
Le monde du social et du médico-social est exigeant en termes d’engagement. Oui, nous travaillons pour porter assistance, soigner, nourrir, loger des personnes en difficulté.
Cependant, nous sommes des travailleuses et travailleurs, et comme les autres, notre seule arme c’est la grève.
C’est le moment !
Syndiquez-vous à la CGT (lien...)
