Ces bouleversements supposent des chantiers énormes sur les ressources humaines et les systèmes informatiques, alors qu’au même moment un nouveau règlement du temps de travail particulièrement rétrograde doit s’appliquer, et le «vrai» télétravail doit être déployé.
Lorsqu’on demande à l’administration comment elle compte s’y prendre pour mener de front toutes ces opérations, la seule réponse est que «ce sera beaucoup de travail», comme si on en manquait…
Dans le meilleur des cas, tout cela doit être conduit à effectifs et moyens constants. Dans le meilleur des cas, car l’administration a beau jurer sur la vie de la Maire qu’il n’y aura pas de suppressions de postes, plusieurs services ou établissements ferment successivement (les Baudemons, la crèche de Pauline Roland, l’EHPAD de Cachan partiellement), et de nombreux départs en retraite ne sont pas remplacés dans les services.
Et ce, alors que de nombreuses missions nouvelles seront confiées aux agents : référence unique, accès aux droits, aller vers, accueil inconditionnel, permanences extérieures, champ d’intervention élargi pour les services ressources qui seront fusionnés, etc.
Grand absent du projet présenté en comité technique : le Big bang territorial : l’immixtion des maires d’arrondissements dans le domaine de l’action sociale (entre autres). Ça fait peur dans l’idée, et ça fait peur aux agents, à juste titre. Tout cela suscite des situations de stress et d’angoisse palpable au niveau de l’encadrement comme à la base, alors que les agents doivent faire face à l’augmentation des besoins sociaux.
La CGT affirme que l’administration n’a pas les bras pour la conduire cette réorganisation dans des conditions raisonnables, et que les agents n’auront pas le moral pour supporter cette énième ré-désorganisation. Les conditions objectives de sont pas réunies, ça sent la catastrophe.
La CGT ne peut valider ce projet, maintenant et en l’état, ni cautionner un pari perdu d’avance pour le Paris de l’Action Sociale.
Dans le meilleur des cas, tout cela doit être conduit à effectifs et moyens constants. Dans le meilleur des cas, car l’administration a beau jurer sur la vie de la Maire qu’il n’y aura pas de suppressions de postes, plusieurs services ou établissements ferment successivement (les Baudemons, la crèche de Pauline Roland, l’EHPAD de Cachan partiellement), et de nombreux départs en retraite ne sont pas remplacés dans les services.
Et ce, alors que de nombreuses missions nouvelles seront confiées aux agents : référence unique, accès aux droits, aller vers, accueil inconditionnel, permanences extérieures, champ d’intervention élargi pour les services ressources qui seront fusionnés, etc.
Grand absent du projet présenté en comité technique : le Big bang territorial : l’immixtion des maires d’arrondissements dans le domaine de l’action sociale (entre autres). Ça fait peur dans l’idée, et ça fait peur aux agents, à juste titre. Tout cela suscite des situations de stress et d’angoisse palpable au niveau de l’encadrement comme à la base, alors que les agents doivent faire face à l’augmentation des besoins sociaux.
La CGT affirme que l’administration n’a pas les bras pour la conduire cette réorganisation dans des conditions raisonnables, et que les agents n’auront pas le moral pour supporter cette énième ré-désorganisation. Les conditions objectives de sont pas réunies, ça sent la catastrophe.
La CGT ne peut valider ce projet, maintenant et en l’état, ni cautionner un pari perdu d’avance pour le Paris de l’Action Sociale.
Voir aussi la déclaration de la CGT DASES (lien...)