Le projet de fusion entre le CASVP et la DASES pouvait laisser naïvement augurer aux agents des facilités dans les démarches entre ces deux administrations au sujet notamment des mobilités professionnelles.
Les premiers signes adressés aux agents ont été au-delà de leurs espérances…
En effet, après avoir été retenu sur un poste à la DASES et dans l'attente de sa légitime prise de fonction, un agent du CASVP s'est vu opposer un avis défavorable à son détachement par la DRH de la ville. Le motif de ce refus… l'agent ne totalise pas 5 ans d'ancienneté après titularisation dans le corps des adjoints administratifs.
Cette pratique qui pouvait sembler isolée a été institutionnalisée à la ville puisque quelques jours auparavant un agent du CASVP a connu les mêmes désagréments avec une autre direction et quelques jours après la situation se reproduit à nouveau.
A l'heure ou la fusion du CASVP et de la DASES est imposée à grande vitesse et à marche forcée, la CGT souhaite que les grands principes édictés par les directions soient appliqués en premier lieu aux agents.
La CGT demande que ces mesures totalement arbitraires et discriminatoires soient abandonnées dès maintenant.
