Dans les établissements, les conditions de travail se durcissent du fait d'effectifs insuffisants.
Alors que les prises en charge des pensionnaires deviennent de plus en plus lourdes, la direction choisit d'emprunter une chaussée glissante, la politique du bâton, plutôt que celle de la concertation.
Alors que les prises en charge des pensionnaires deviennent de plus en plus lourdes, la direction choisit d'emprunter une chaussée glissante, la politique du bâton, plutôt que celle de la concertation.
Le sous effectif pèse lourdement sur
les conditions de travail et les agents sont au bout du rouleau. Ils
ne supportent plus de devoir boucher les trous de plannings
ingérables !
Les agents dénoncent l’attitude de
la direction de leurs établissements (trop éloignée de l'humain),
le manque d’effectifs, l’absence de reconnaissance du travail
fourni.
Ils exigent le respect des
pensionnaires et des soignants, l’arrêt des pressions, de la
polyvalence, de l’autoritarisme, de la remise en cause de leur vie
privée, du chantage à la notation, à l’avancement, à
l’attribution des primes…
► La sécurité des résidents et des
personnels n’est plus assurée, dès lors qu'un agent se retrouve
seul à gérer un étage !
MOBILISONS-NOUS !
SOUTENONS LES COLLÈGUES MIS EN
DIFFICULTÉ PAR LEUR HIÉRARCHIE !
Dans un contexte où le travail devient
épuisant, aucun agent n'est à l'abri d'une «faute»
professionnelle parce qu'il est impossible d'être vigilant tout le
temps quand la charge de travail dépasse l'entendement.