► 42 suppressions de postes dont 18 en section d’arrondissement, 16 en Ehpad sans compter les postes gelés et transformés... Un point que toutes les organisations syndicales présentes au CT ont rejeté.
- Pourquoi, la direction a-t-elle fait l’impasse dans son communiqué ?
- Quelle confiance lui accorder quand elle communique ?
Un constat
Un rapport de la Chambre Régionale des Comptes vient de pointer l’explosion du nombre de collaborateurs dans les cabinets de la maire de Paris et des maires d’arrondissement, notamment dans le XXème...
De notre côté, nous constatons des créations de postes de catégorie A à Diderot et une baisse drastique des effectifs des agents de terrain.
Dans un contexte de réformes à « jet continu » de réorganisations, de mutualisations, de polyvalence imposée, de démarche qualité et de labellisation comme stratégies de "management" (évaluation permanente, recherche de la productivité à tout prix, contrats d'objectifs, changements d'horaire…), la direction du CASVP n’est pas crédible quand elle essaye de nous faire croire que ces concepts peuvent permettre de réduire les effectifs au plus près « des personnes accompagnées » et qu’ils vont améliorer la qualité du travail.
Robotisation
Dans le même temps, le CASVP engage la robotisation des services avec une pharmacie centrale des Ehpad totalement automatisée qui devrait ouvrir en janvier 2018 à Anselme Payen : 24 emplois détruits.
Une robotisation contre laquelle la CGT s’est opposée mais qui a été validée par l’ensemble des organisations syndicales en CT, sauf la CGT.
Un rapport de la Chambre Régionale des Comptes vient de pointer l’explosion du nombre de collaborateurs dans les cabinets de la maire de Paris et des maires d’arrondissement, notamment dans le XXème...
De notre côté, nous constatons des créations de postes de catégorie A à Diderot et une baisse drastique des effectifs des agents de terrain.
Dans un contexte de réformes à « jet continu » de réorganisations, de mutualisations, de polyvalence imposée, de démarche qualité et de labellisation comme stratégies de "management" (évaluation permanente, recherche de la productivité à tout prix, contrats d'objectifs, changements d'horaire…), la direction du CASVP n’est pas crédible quand elle essaye de nous faire croire que ces concepts peuvent permettre de réduire les effectifs au plus près « des personnes accompagnées » et qu’ils vont améliorer la qualité du travail.
Robotisation
Dans le même temps, le CASVP engage la robotisation des services avec une pharmacie centrale des Ehpad totalement automatisée qui devrait ouvrir en janvier 2018 à Anselme Payen : 24 emplois détruits.
Une robotisation contre laquelle la CGT s’est opposée mais qui a été validée par l’ensemble des organisations syndicales en CT, sauf la CGT.
