🚩 Centre d'Action Sociale de la Ville de Paris - Des directions tentent de briser la grève

 


La CGT exige que le droit de grève soit respecté

Depuis le durcissement du mouvement, de manière déguisée ou plus directe, certains responsables font tout pour casser la grève.

Les pressions ne s’arrêtent pas et peuvent prendre différentes formes :

⛔ Appels téléphoniques demandant d’arrêter la grève.
⛔ Tentative de découragement « Cela ne sert à rien du tout »
⛔ Tentative d’intimidation « Vous devez reprendre le service la semaine prochaine »
⛔ Menaces « Si vous continuez comme ça les restaurants seront privatisés »
⛔ Fausses informations : « vous devez vous déclarer 48 heures à l’avance »
⛔ Des dossiers envoyés aux administratifs pendant leur absence pour grève, quand ils et
elles reprennent le travail on tente de les surcharger.

La CGT exige de l’administration générale qu’elle fasse cesser toutes formes de pression

Le salarié gréviste n’est pas obligé d’informer son employeur de son intention d’exercer son droit de grève. 

L’agent gréviste a une retenue qui est calculée sur l’ensemble des rémunérations « traitement indiciaire, indemnités de résidence, primes et indemnités ».

Le salarié gréviste n’a pas à « rattraper » la charge de travail pour laquelle il n’a pas été payé.

Pour mémoire : La CGT rappelle que tous les acquis dont les agents bénéficient actuellement, c’est grâce à des personnes courageuses qui ont su tenir debout pour obtenir les droits : sécurité sociale, congés payés, 35 heures etc….

Les collègues exclus du Ségur se battent pour l’égalité de traitement : un principe de base
défendu par la CGT.

Toutes et tous avec les collègues en lutte :
Soyons solidaires, amplifions notre soutien