Aide-soignant mais surtout travailleur militant, il a dénoncé dans un tract, 6 jours après les attaques sanglantes du 7 octobre, la guerre et l’oppression d’un peuple, ayant causé la mort de plus de 30 000 mort•es aujourd’hui en Palestine.
Le syndicat CGT CASVP apporte tout son soutien à Jean-Paul Delescaut, dénonce l’attaque du pouvoir, et la répression disproportionnée, contre un camarade et demande une relaxe totale.
Le syndicat CGT CASVP apporte tout son soutien à Jean-Paul Delescaut, dénonce l’attaque du pouvoir, et la répression disproportionnée, contre un camarade et demande une relaxe totale.
Nous tenons à réaffirmer ici notre solidarité envers tous les peuples subissant la guerre.
Nous n’avons rien à attendre des dirigeants capitalistes pour restaurer la paix. Ce sont bien eux les faiseurs de guerre à travers la planète et pour avoir la paix, nous, travailleuses et travailleurs, devront faire la guerre au capitalisme.
Alors que le gouvernement se dote et fournit sans cesse des armes au patronat pour licencier, précariser, et plonger le monde du travail dans la crise, ces derniers s’enrichissent de plus en plus.
Subir ces lois dans la situation actuelle où les menaces guerrières accompagnent la crise générale de l’économie, c’est être de la chair à exploitation aujourd’hui, et demain de la chair à canon.
Le syndicat CGT CASVP ne s'y résout pas et invite les agents à le rejoindre pour contrer cette perspective mortifère.
Nous n’avons rien à attendre des dirigeants capitalistes pour restaurer la paix. Ce sont bien eux les faiseurs de guerre à travers la planète et pour avoir la paix, nous, travailleuses et travailleurs, devront faire la guerre au capitalisme.
Alors que le gouvernement se dote et fournit sans cesse des armes au patronat pour licencier, précariser, et plonger le monde du travail dans la crise, ces derniers s’enrichissent de plus en plus.
Subir ces lois dans la situation actuelle où les menaces guerrières accompagnent la crise générale de l’économie, c’est être de la chair à exploitation aujourd’hui, et demain de la chair à canon.
Le syndicat CGT CASVP ne s'y résout pas et invite les agents à le rejoindre pour contrer cette perspective mortifère.
