En cette rentrée 2021, la CGT dénonce l’instrumentalisation de la crise sanitaire par le gouvernement pour imposer ses projets de régression sociale. Les motifs de mécontentement sont nombreux.
Calendrier de mobilisation pour organiser la riposte
► 21 septembre 9H30 : assemblée générale de tous les agents de la Ville et du CASVP, salle Hénaff, 29 Bld du Temple Paris 3ème (lien...)
► 23 septembre : mobilisation des oubliés du Ségur (secteur de l’aide et du soin à domicile, SAAD, SPASAD) (lien...)
► 5 octobre : mobilisation nationale interprofessionnelle et intersyndicale « pour nos salaires, nos emplois, nos conditions de travail et d’étude ! » (lien...).
► 26 octobre 14H00 : assemblée générale des agents du CASVP, salle Hénaff, 29 Bld du Temple Paris 3ème
Temps de travail des agents
Temps de travail des agents
La sujétion « Ville capitale » de 3 jours, arrachée par la lutte des agents et de l’intersyndicale pour compenser partiellement la suppression de 8 jours de congés, et votée par le Conseil de Paris, a été qualifiée d’illégale par le Préfet de Paris dans un courrier adressé à Anne Hidalgo fin juillet. La Maire n’a pas encore réagit au courrier.
A nous de lui rappeler qu’elle doit maintenant au minimum défendre la délibération qu’elle a fait voter.
A nous de lui rappeler qu’elle doit maintenant au minimum défendre la délibération qu’elle a fait voter.
Pour la CGT, ces 3 jours de sujétions sont d’ailleurs insuffisants car ils ne compensent pas la perte de 8 jours de congés. Les négociations sur les cycles de travail vont se dérouler en septembre et en octobre dans chaque Direction de la Ville, au CASVP et à Paris Musées. La CGT CASVP défend la création de nouvelles sujétions pour tenir compte de la pénibilité psychique, de la charge mentale et de l’engagement émotionnel qui caractérisent les métiers du CASVP.
Passe Sanitaire, retraites, assurance chômage : le retour du « en même temps »
Lors de son allocution sur la gestion de la crise sanitaire, Macron, au lieu d’annoncer un renforcement des moyens pour l’hôpital public, nous a promis de nouvelles attaques sur le droit du travail, sous couvert de la nécessaire lutte contre la pandémie. Fidèle à sa ligne antisociale et répressive, l’instauration du passe sanitaire et de la vaccination obligatoire consiste à priver de rémunération et faciliter le licenciement des salariés réfractaires au vaccin, tout en rendant les tests Covid payants !
Il a « en même temps » jugé opportun de revenir à la charge sur le dossier des retraites, et promis de faire appliquer la réforme de l’assurance chômage, pourtant suspendue par le Conseil d’Etat. Quel rapport avec la pandémie ?
L’obsession de ce gouvernement : nous faire travailler plus intensément, plus longtemps, sans augmentation de salaire, tout en diminuant dramatiquement le montant des indemnités chômage. Et ce alors que les plans de licenciement se multiplient, et que l’inflation repart.
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Je me syndique à la CGT (suivre ce lien...)
Pour obtenir gain de cause, il faudra instaurer un rapport de force !
Passe Sanitaire, retraites, assurance chômage : le retour du « en même temps »
Lors de son allocution sur la gestion de la crise sanitaire, Macron, au lieu d’annoncer un renforcement des moyens pour l’hôpital public, nous a promis de nouvelles attaques sur le droit du travail, sous couvert de la nécessaire lutte contre la pandémie. Fidèle à sa ligne antisociale et répressive, l’instauration du passe sanitaire et de la vaccination obligatoire consiste à priver de rémunération et faciliter le licenciement des salariés réfractaires au vaccin, tout en rendant les tests Covid payants !
Il a « en même temps » jugé opportun de revenir à la charge sur le dossier des retraites, et promis de faire appliquer la réforme de l’assurance chômage, pourtant suspendue par le Conseil d’Etat. Quel rapport avec la pandémie ?
L’obsession de ce gouvernement : nous faire travailler plus intensément, plus longtemps, sans augmentation de salaire, tout en diminuant dramatiquement le montant des indemnités chômage. Et ce alors que les plans de licenciement se multiplient, et que l’inflation repart.
Les salariés du public comme du privé ont toutes les raisons de se révolter !
Mobilisons-nous toutes et tous ensemble : en grève et en manifestation le 5 octobre !
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