La pratique du syndicalisme indépendant et démocratique passe par le refus de donner des consignes de vote.
La lutte du syndicalisme de combat se fait sur le terrain de la conquête sociale ou de la défense des droits et non sur celui des tribunes conduisant au pouvoir et notamment, dans notre cas de figure présent au pouvoir personnel.
La CGT prend d’ores et déjà acte de la situation et entend donner le change aux menaces à peine voilées contre les acquis sociaux, les 35 heures, l’assurance maladie, la retraite, le droit de grève et la force syndicale.
Le candidat gagnant a fait son choix parmi les syndicats par ses déclarations en appelant à la formation d’un « grand pôle réformiste », autrement dit obéissant.
Le secrétaire général de la CFDT à découragé les luttes sociales en déclarant « antidémocratique » un « troisième tour social » envisagé par Bernard Thibaut.
Pour notre part, nous considérerions comme anti-syndical et par conséquent antidémocratique que de renoncer à la lutte et au rapport de force qui font le contenu même de l’action syndicale depuis toujours.
Nous ne voulons pas attendre que les droits soient retirés ou diminués pour réagir. Le monde du travail a ses règles qui ne sauraient être transférées au seul débat du pouvoir et du chef de l’Etat et de la représentation nationale.
La lutte sociale est une dimension essentielle du fonctionnement démocratique et sa dévalorisation relève de l’irresponsabilité d’une grave décision lorsque l’on a en charge une grande organisation syndicale.
Pour notre part, le projet d’unir les salariés pour l’amélioration de leur condition et la transformation sociale garde tout son sens et singulièrement le reprend avec une acuité particulière lorsque les droits sont menacés.
Et ils l’ont rarement été aussi ouvertement.
Nous ne nous faisons pas d’illusion, car le pragmatisme patronal s’applique partout et parmi nous comme ailleurs. Nous ferons les frais des mesures d’économie, de l’atteinte au droit, aux bas salaires et aux conditions de travail ou aux libertés syndicales que voudra l’Etat en la personne de son chef et du gouvernement.
Notre employeur s’appuie régulièrement sur la référence légale pour ne faire que le minimum, aussi pouvons-nous craindre les suites qu’il faut dès maintenant prévenir par notre capacité à refuser l’atteinte de nos conditions de vie par ceux qui détiennent le pouvoir, les pouvoirs.
La perte du pouvoir d’achat depuis 2000 (plus de 80 euros par mois pour un salaire de la fonction publique de catégorie C, soit près de 900 euros par an), la spéculation sur le logement tout particulièrement à Paris, les conditions de vie générales nous mettent dans un processus de recul social inégalé depuis longtemps et qui risque de s’aggraver.
Notre organisation syndicale CGT appelle tous les salariés à rester vigilant, à envisager l’union et l’organisation des luttes et des syndicats qui ont choisi leur camp.
La lutte du syndicalisme de combat se fait sur le terrain de la conquête sociale ou de la défense des droits et non sur celui des tribunes conduisant au pouvoir et notamment, dans notre cas de figure présent au pouvoir personnel.
La CGT prend d’ores et déjà acte de la situation et entend donner le change aux menaces à peine voilées contre les acquis sociaux, les 35 heures, l’assurance maladie, la retraite, le droit de grève et la force syndicale.
Le candidat gagnant a fait son choix parmi les syndicats par ses déclarations en appelant à la formation d’un « grand pôle réformiste », autrement dit obéissant.
Le secrétaire général de la CFDT à découragé les luttes sociales en déclarant « antidémocratique » un « troisième tour social » envisagé par Bernard Thibaut.
Pour notre part, nous considérerions comme anti-syndical et par conséquent antidémocratique que de renoncer à la lutte et au rapport de force qui font le contenu même de l’action syndicale depuis toujours.
Nous ne voulons pas attendre que les droits soient retirés ou diminués pour réagir. Le monde du travail a ses règles qui ne sauraient être transférées au seul débat du pouvoir et du chef de l’Etat et de la représentation nationale.
La lutte sociale est une dimension essentielle du fonctionnement démocratique et sa dévalorisation relève de l’irresponsabilité d’une grave décision lorsque l’on a en charge une grande organisation syndicale.
Pour notre part, le projet d’unir les salariés pour l’amélioration de leur condition et la transformation sociale garde tout son sens et singulièrement le reprend avec une acuité particulière lorsque les droits sont menacés.
Et ils l’ont rarement été aussi ouvertement.
Nous ne nous faisons pas d’illusion, car le pragmatisme patronal s’applique partout et parmi nous comme ailleurs. Nous ferons les frais des mesures d’économie, de l’atteinte au droit, aux bas salaires et aux conditions de travail ou aux libertés syndicales que voudra l’Etat en la personne de son chef et du gouvernement.
Notre employeur s’appuie régulièrement sur la référence légale pour ne faire que le minimum, aussi pouvons-nous craindre les suites qu’il faut dès maintenant prévenir par notre capacité à refuser l’atteinte de nos conditions de vie par ceux qui détiennent le pouvoir, les pouvoirs.
La perte du pouvoir d’achat depuis 2000 (plus de 80 euros par mois pour un salaire de la fonction publique de catégorie C, soit près de 900 euros par an), la spéculation sur le logement tout particulièrement à Paris, les conditions de vie générales nous mettent dans un processus de recul social inégalé depuis longtemps et qui risque de s’aggraver.
Notre organisation syndicale CGT appelle tous les salariés à rester vigilant, à envisager l’union et l’organisation des luttes et des syndicats qui ont choisi leur camp.
Se syndiquer à la CGT :
- c’est un geste de liberté,
- c’est choisir d’intervenir efficacement pour faire entendre sa voix,
- c’est aussi un droit statutaire et constitutionnel,
- c’est un acte d’espoir et de solidarité.
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La CGT du Centre d’Action Sociale de la Ville de Paris
23/25, rue Bobillot - 75013
01 53 80 97 60 – Fax : 01 53 62 94 25
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Mail : cgt-casvp.syndicat@paris.fr
Blog : http://cgt-casvp.blogspot.com
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