Suite à la fusion administrative des 4 premiers arrondissements de Paris, la Mairie a regroupé les services du Centre d’Action Sociale accueillant le public à la mairie du 4ème.
Une installation qui devait être provisoire pour 2 années, en attente de l’aménagement définitif de l’accueil des usagers du CASVP Centre à la mairie du 2ème et qui semblerait remise en question et forcerait les agents à redéménager dès septembre, sur un lieu encore inconnu.
Des locaux qui dénotent un manque de bienveillance envers les agents.
La SDIS ne semble pas avoir compris que des normes d’hygiène et de sécurité existent et qu’elles doivent être respectées :
► Un « open-space » inadapté pour le service des prestations incluant 4 bureaux ou ni la distanciation physique, ni la confidentialité des uns et des autres, ne peut être respectée ;
► Les locaux insuffisamment chauffés sont une véritable passoire thermique avec pour seule compensation des chauffages d’appoint roulants ;
►Des fils électriques sans goulotte jonchent le sol et peuvent provoquer des chutes aussi bien de l’agent que de l’usager ;
► Des toilettes exiguës et vétustes communes aux hommes et aux femmes, un petit lavabo.
La SDIS ne semble pas avoir compris que des normes d’hygiène et de sécurité existent et qu’elles doivent être respectées :
► Un « open-space » inadapté pour le service des prestations incluant 4 bureaux ou ni la distanciation physique, ni la confidentialité des uns et des autres, ne peut être respectée ;
► Les locaux insuffisamment chauffés sont une véritable passoire thermique avec pour seule compensation des chauffages d’appoint roulants ;
►Des fils électriques sans goulotte jonchent le sol et peuvent provoquer des chutes aussi bien de l’agent que de l’usager ;
► Des toilettes exiguës et vétustes communes aux hommes et aux femmes, un petit lavabo.
► Question confidentialité, c’est consternant.
► Question isolation acoustique, c’est insupportable.
► Question hygiène et sécurité c’est désastreux.
► Question isolation acoustique, c’est insupportable.
► Question hygiène et sécurité c’est désastreux.
Une organisation irrespectueuse
Au CASVP Centre, l’accueil inconditionnel reste la règle imposée aux agents et rien n’a changé depuis la pandémie.
Le bon sens aurait fait qu’afin de limiter les interactions sociales, il aurait fallu une réorganisation qui aille dans l’intérêt des agents mais aussi des usagers.
Des demandes qui pourraient être traités par courrier ou par internet ne doivent plus l’être au guichet.
Quant aux horaires variables, ils ne sont plus d’actualité entre midi et deux puisque la fermeture du CASVP est imposée à tous les agents entre 12 et 13 heures.
Enfin on impose aux instructeurs de changer de métier et d’être standardiste par demi-journée de 4h30, sans la pause réglementaire requise sur une fonction « postée ».
Rappel : Durant la pandémie, la CGT demande l’organisation de la journée continue avec un temps de pause de 30 mn compris dans le temps de travail.
Télétravail
A l’origine deux jours de télétravail, puis un, puis deux…. Il n’existe en fait aucune règle précise au CASVP Centre et les plannings peuvent être bousculés du jour au lendemain selon le bon vouloir de l’encadrement et peu importe pour la direction l’organisation professionnelle et personnelle de l’agent. Aucun juste niveau d’autonomie pour les agents qui doivent toujours s’adapter et subir.
Un manque de considération et de bienveillance
Le mépris s’exerce sous toutes ses formes au CASVP Centre, il engendre du stress et une démotivation importante. Conséquences immédiates beaucoup de départ du CASVP Centre vers d’autres cieux peut être plus cléments...
Au-delà des conditions matérielles, il manque une forme de respect, saluer un agent en le regardant pourrait être un début de commencement…