Un salarié du Centre d'Action Sociale de la Ville de Paris est mort...
Certes, c'est notre destinée à tous, mais que penser d'un employeur qui ne daigne même pas assister aux derniers hommages ?
C'est pourtant bien ce qui vient de se passer à Sarcelles. Christian ABON, agent hospitalier à la maison de retraite " le cèdre bleu " est mort dans l'anonymat de son employeur, le CASVP.
Aucune représentation de l'administration générale, ni locale n'était présente jeudi 24 avril pour lui rendre un dernier hommage.
Même pas une petite lettre de soutien, est-ce cela la valeur d'une vie entière d'un salarié au CASVP...
Méprisant ceux qui servent au quotidien le service public, l'administration ignore le respect minimum dû aux travailleurs et travailleuses.
Cette attitude démontre une fois de plus l'absence de reconnaissance de notre employeur et de certains de ses cadres, chacun se retrouvera...
Nous sommes exploités et méprisés jusqu'à la mort, est-ce normal ?
Ce ne sera en tout cas jamais la position de la CGT.
Pour nous, le respect n'est pas anodin mais mérite toutes les attentions.
Nous n'acceptons pas la fatalité à devoir subir l'individualisme et l'ignorance de ceux qui nous dirigent.
C'est cela aussi la lutte des classes...
Certes, c'est notre destinée à tous, mais que penser d'un employeur qui ne daigne même pas assister aux derniers hommages ?
C'est pourtant bien ce qui vient de se passer à Sarcelles. Christian ABON, agent hospitalier à la maison de retraite " le cèdre bleu " est mort dans l'anonymat de son employeur, le CASVP.
Aucune représentation de l'administration générale, ni locale n'était présente jeudi 24 avril pour lui rendre un dernier hommage.
Même pas une petite lettre de soutien, est-ce cela la valeur d'une vie entière d'un salarié au CASVP...
Méprisant ceux qui servent au quotidien le service public, l'administration ignore le respect minimum dû aux travailleurs et travailleuses.
Cette attitude démontre une fois de plus l'absence de reconnaissance de notre employeur et de certains de ses cadres, chacun se retrouvera...
Nous sommes exploités et méprisés jusqu'à la mort, est-ce normal ?
Ce ne sera en tout cas jamais la position de la CGT.
Pour nous, le respect n'est pas anodin mais mérite toutes les attentions.
Nous n'acceptons pas la fatalité à devoir subir l'individualisme et l'ignorance de ceux qui nous dirigent.
C'est cela aussi la lutte des classes...