Une collègue assistante sociale menacée d’extradition vers l’Italie son pays d’origine.
Dans les années 1980, Marina appartenait à ces mouvements extrémistes en Italie qui prônaient la violence.
En 1993, elle s’est réfugiée en France après 8 années de prison préventive en Italie.
François Mitterand , dans un souci d’apaisement , promet alors aux italiens réfugiés en France « un asile à l’abri de toute sanction par voie d’extradition » pour autant qu’ils aient « rompu avec la machine infernale dans laquelle ils s’étaient engagés » et qu’ils renoncent à toute forme de violence.
Cette parole a été respectée pendant 20 ans, alors que l’Etat Italien refusait toute amnistie.
En 2002, cette politique d’asile est reniée par l’Etat français avec la « livraison » de Persichetti et en 2004, avec l’accord pour l’extradition de Césare Battisiti .
Le 21 août 2007, Marina Pettrella est arrêtée et incarcérée à la prison de Fresnes. Depuis elle fait l’objet d’une procédure d’extradition vers l’Italie à la demande du gouvernement italien.
En signant ce décret d’extradition, le gouvernement français condamnerait Marina à finir ses jours dans les geôles italiennes pour des faits remontant à plus de 25 ans.
Extrader Marina c’est trahir la parole de la France, c’est briser une famille (Marina a deux filles dont une née en France), c’est renier toutes ces années de dévouement aux autres, Marina exerçant comme assistante sociale dans le milieu associatif.
Celles et ceux qui ont renoncé à la lutte armée, qui ont fait le choix de la paix sociale, doivent pouvoir vivre en sécurité en France.
Que faire ?
Signer et faire signer la pétition en faveur de Marina sur le site www.paroledonnee.info
*
Dans les années 1980, Marina appartenait à ces mouvements extrémistes en Italie qui prônaient la violence.
En 1993, elle s’est réfugiée en France après 8 années de prison préventive en Italie.
François Mitterand , dans un souci d’apaisement , promet alors aux italiens réfugiés en France « un asile à l’abri de toute sanction par voie d’extradition » pour autant qu’ils aient « rompu avec la machine infernale dans laquelle ils s’étaient engagés » et qu’ils renoncent à toute forme de violence.
Cette parole a été respectée pendant 20 ans, alors que l’Etat Italien refusait toute amnistie.
En 2002, cette politique d’asile est reniée par l’Etat français avec la « livraison » de Persichetti et en 2004, avec l’accord pour l’extradition de Césare Battisiti .
Le 21 août 2007, Marina Pettrella est arrêtée et incarcérée à la prison de Fresnes. Depuis elle fait l’objet d’une procédure d’extradition vers l’Italie à la demande du gouvernement italien.
En signant ce décret d’extradition, le gouvernement français condamnerait Marina à finir ses jours dans les geôles italiennes pour des faits remontant à plus de 25 ans.
Extrader Marina c’est trahir la parole de la France, c’est briser une famille (Marina a deux filles dont une née en France), c’est renier toutes ces années de dévouement aux autres, Marina exerçant comme assistante sociale dans le milieu associatif.
Celles et ceux qui ont renoncé à la lutte armée, qui ont fait le choix de la paix sociale, doivent pouvoir vivre en sécurité en France.
Que faire ?
Signer et faire signer la pétition en faveur de Marina sur le site www.paroledonnee.info
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