En tant que membre du conseil d’administration de l’Organisation internationale du travail (OIT) et ancien secrétaire général de la CGT, il dénonce le culte du moindre coût qui sacrifie les salariés du monde sur l’autel de la concurrence et propose notamment de renforcer le rôle de l’OIT au regard de sa mission historique : "promouvoir la justice sociale comme facteur de paix dans le monde".