La CGT revendique un salaire de base minimum au niveau du SMIC réévalué à 2000 € brut pour la durée légale du travail en vigueur.
Prix de l’Électricité et du Gaz : en finir avec la bourse, le service public est une énergie d’avenir !
100€ DE MESURETTE PONCTUELLE « MADE IN » CASTEX… OU UNE BAISSE DURABLE DE CENTAINES D’EUROS SUR LES FACTURES AVEC LE SERVICE PUBLIC DE L’ÉNERGIE ?
Pour en finir avec les hausses délirantes des factures d’électricité et de gaz, pour en finir avec la bourse de l’énergie dont les conséquences sociales et techniques sont catastrophiques, le Service Public de l’Énergie revendiqué par la fédération nationale des mines et de l’énergie CGT (FNME-CGT) est la seule énergie d’avenir !
Alors que les conséquences de l’emballement de la « loterie énergie » (pic historique du marché à 100 €/MWh) concernent tous les usagers, le gouvernement dans sa grande bonté propose 100 € de chèque énergie pour les plus précaires…
La FNME-CGT dénonce ce lobbying des fournisseurs alternatifs auprès de la CRE ou de leur représentativité au Conseil Supérieur de l’Énergie pour s’assurer un retour financier sur les impayés des plus précaires… Le gouvernement continue sa politique de subventions électoralistes au détriment d’une nécessaire planification stratégique du secteur sur le long terme dont il a le devoir souverain de se saisir.
100 € de chèque énergie c’est quoi ? 100 € ce n’est même pas le prix annuel du plus petit abonnement de base en électricité (3 kVA) … et à peine 11 jours de consommation hivernale pour un foyer de 4 personnes chauffé à l’électrique !
La FNME-CGT revendique l’application immédiate et en urgence de son Programme Progressiste de l’Énergie afin de gagner pour tous les usagers une baisse durable des factures (400 € / an* pour un foyer de 4 personnes). Seul un mix énergétique équilibré bas-carbone et pilotable garantira l’indépendance énergétique de la Nation, la sûreté d’approvisionnement de tous les territoires, la réussite du défi de la Transition Écologique et des factures en baisse pour tous les usagers via le retour à un tarif régulé au service de l’intérêt général et non des spéculateurs-casseurs.
La loi de finances 2022 doit être l’occasion de mettre en œuvre les mesures de la FNME-CGT :
Arrêt de cette honte qu’est l’application de la TVA sur les autres taxes des factures électricité et gaz
Baisse de la TVA à 5,5% sur la consommation des biens de première nécessité que sont l’électricité et le gaz
Baisse de la CSPE (Contribution au Service Public de l’Électricité) à hauteur de ce qu’elle coûte uniquement
Baisse de l’ex CTSSG (Contribution au Tarif Spécial de Solidarité Gaz) dorénavant incluse dans la TICGN (Taxe Intérieure sur la Consommation de Gaz Naturel)
La FNME-CGT exige un bilan et un débat public sur des dizaines d’années de casse néolibérale du secteur de l’électricité et du gaz : aucun des objectifs n’a été atteint par cette libéralisation dogmatique et autoritaire du marché de l’énergie.
La FNME-CGT dénonce avec constance et détermination cette régression technique et sociale induite par le néolibéralisme et son oligarchie financière. Seul un retour aux monopoles publics régulés, incluant performance et efficacité énergétique, avec pour seul objectif l’intérêt général permettra de réussir la Transition Écologique avec un mix énergétique équilibré, bas carbone et pilotable… et obtenir des factures durablement en baisse pour tous les usagers.
Des centaines d’euros de gain de pouvoir d’achat dans l’énergie c’est possible !
Le nombre de salariés au SMIC ne cesse de croître alors que leur qualification ne cesse d’augmenter. 2/3 sont des femmes alors qu’elles sont plus diplômées que les hommes.
Pour le traitement des fonctionnaires, depuis plusieurs années, les premiers niveaux de traitement de la grille de rémunération sont de plus en plus souvent dépassés, par le SMIC.
Pour le traitement des fonctionnaires, depuis plusieurs années, les premiers niveaux de traitement de la grille de rémunération sont de plus en plus souvent dépassés, par le SMIC.
Pour preuve la situation inédite où de septembre à décembre 2021, les 6 premiers échelons du grade C1 et les 4 premiers échelons du grade C2 se retrouvent au niveau du SMIC (voir les grilles 2021/2022...)
Le gel du point d’indice depuis février 2017 amplifie cette situation (en dix ans, le point d’indice n’a évolué que de 1,20 % et de 10,36 % en vingt ans).
Le gel du point d’indice depuis février 2017 amplifie cette situation (en dix ans, le point d’indice n’a évolué que de 1,20 % et de 10,36 % en vingt ans).
La CGT revendique :
- Un salaire de base minimum au niveau du SMIC réévalué à 2000 € brut pour la durée légale du travail en vigueur.
- Point de départ de toute grille de salaires et de traitements.
- Outil pour gagner l’égalité salariale entre les femmes et les hommes.
- Socle minimum de référence pour l’ensemble des salariés actifs, retraités, privés d’emploi et les jeunes en contrat de professionnalisation ou d’apprentissage.
- Salaire de première embauche sans diplôme et sans qualification.
Cinq principes pour redonner tout son sens au SMIC :
Le SMIC est un salaire
Les compléments de rémunération et les éléments variables tels que primes, 13e mois, intéressement… ne doivent pas être pris en compte
Le SMIC est un salaire minimum
Le lien entre son niveau et le niveau des besoins pour vivre doit être régulièrement apprécié et donner lieu aux revalorisations nécessaires en plus des mécanismes légaux d’indexation. S’agissant d’un minimum, il ne doit subir aucune diminution que ce soit pour certaines catégories, ou en fonction de l’âge, ni en cas de réduction de la durée légale de travail, ni de baisse du SMIC net en cas d’augmentation des prélèvements sociaux;
Le SMIC est un salaire interprofessionnel
Il doit s’appliquer de façon identique pour tout salarié quels que soient son emploi, ses conditions de travail et de rémunération, son secteur professionnel.
Les salariés détachés par des entreprises étrangères exerçant leur activité sur le territoire français ne peuvent donc pas percevoir un salaire inférieur au SMIC français;
Le SMIC est un salaire de croissance
Il doit assurer aux salariés une participation au développement économique du pays.
À ce titre, il doit croître plus vite que l’inflation. Il doit intégrer les gains de productivité du travail réalisé à l’échelle du pays. Il doit contribuer à une redistribution de la valeur ajoutée plus favorable aux salariés.
En retour, la hausse régulière du SMIC, répercutée dans les grilles de salaires, alimentant une dynamique salariale, contribue, au travers de la consommation des salariés, à la croissance économique, favorisant le développement de l’activité et de l’emploi;
En retour, la hausse régulière du SMIC, répercutée dans les grilles de salaires, alimentant une dynamique salariale, contribue, au travers de la consommation des salariés, à la croissance économique, favorisant le développement de l’activité et de l’emploi;
Le SMIC est un salaire horaire et mensuel
Le caractère horaire du SMIC fixe le tarif salarial minimal au-dessous duquel aucun salarié ne peut être payé. Cette limite ne doit connaître aucune exception. Le caractère mensuel du SMIC conditionne la régularité de son versement, l’entrée en vigueur immédiate des augmentations et les possibilités de contrôle. Il doit être de droit public et de périmètre national.
Propositions sur les règles d’évolution du SMIC :
- Prendre en compte l’évolution des coûts des dépenses incompressibles et des besoins fondamentaux, ce qui nécessite un travail sur leur mesure;
- Accorder une progression annuelle du SMIC au moins égale à celle du taux du salaire horaire moyen;
- Répercuter automatiquement toute augmentation du SMIC sur les grilles de salaire des branches;
- Prévoir une garantie du SMIC mensuel en faveur des salariés en temps partiel imposé.
Concernant les hausses des tarifs de l'énergie
100€ DE MESURETTE PONCTUELLE « MADE IN » CASTEX… OU UNE BAISSE DURABLE DE CENTAINES D’EUROS SUR LES FACTURES AVEC LE SERVICE PUBLIC DE L’ÉNERGIE ?
Pour en finir avec les hausses délirantes des factures d’électricité et de gaz, pour en finir avec la bourse de l’énergie dont les conséquences sociales et techniques sont catastrophiques, le Service Public de l’Énergie revendiqué par la fédération nationale des mines et de l’énergie CGT (FNME-CGT) est la seule énergie d’avenir !
Alors que les conséquences de l’emballement de la « loterie énergie » (pic historique du marché à 100 €/MWh) concernent tous les usagers, le gouvernement dans sa grande bonté propose 100 € de chèque énergie pour les plus précaires…
La FNME-CGT dénonce ce lobbying des fournisseurs alternatifs auprès de la CRE ou de leur représentativité au Conseil Supérieur de l’Énergie pour s’assurer un retour financier sur les impayés des plus précaires… Le gouvernement continue sa politique de subventions électoralistes au détriment d’une nécessaire planification stratégique du secteur sur le long terme dont il a le devoir souverain de se saisir.
100 € de chèque énergie c’est quoi ? 100 € ce n’est même pas le prix annuel du plus petit abonnement de base en électricité (3 kVA) … et à peine 11 jours de consommation hivernale pour un foyer de 4 personnes chauffé à l’électrique !
La FNME-CGT revendique l’application immédiate et en urgence de son Programme Progressiste de l’Énergie afin de gagner pour tous les usagers une baisse durable des factures (400 € / an* pour un foyer de 4 personnes). Seul un mix énergétique équilibré bas-carbone et pilotable garantira l’indépendance énergétique de la Nation, la sûreté d’approvisionnement de tous les territoires, la réussite du défi de la Transition Écologique et des factures en baisse pour tous les usagers via le retour à un tarif régulé au service de l’intérêt général et non des spéculateurs-casseurs.
La loi de finances 2022 doit être l’occasion de mettre en œuvre les mesures de la FNME-CGT :
Arrêt de cette honte qu’est l’application de la TVA sur les autres taxes des factures électricité et gaz
Baisse de la TVA à 5,5% sur la consommation des biens de première nécessité que sont l’électricité et le gaz
Baisse de la CSPE (Contribution au Service Public de l’Électricité) à hauteur de ce qu’elle coûte uniquement
Baisse de l’ex CTSSG (Contribution au Tarif Spécial de Solidarité Gaz) dorénavant incluse dans la TICGN (Taxe Intérieure sur la Consommation de Gaz Naturel)
La FNME-CGT exige un bilan et un débat public sur des dizaines d’années de casse néolibérale du secteur de l’électricité et du gaz : aucun des objectifs n’a été atteint par cette libéralisation dogmatique et autoritaire du marché de l’énergie.
La FNME-CGT dénonce avec constance et détermination cette régression technique et sociale induite par le néolibéralisme et son oligarchie financière. Seul un retour aux monopoles publics régulés, incluant performance et efficacité énergétique, avec pour seul objectif l’intérêt général permettra de réussir la Transition Écologique avec un mix énergétique équilibré, bas carbone et pilotable… et obtenir des factures durablement en baisse pour tous les usagers.
Des centaines d’euros de gain de pouvoir d’achat dans l’énergie c’est possible !
👉 Demander l'indemnité inflation (lien...)