Alors que la procédure d'évaluation des agents stagiaires a été cadrée précisément par la DRH, en concertation avec les syndicats (évaluations à 3, 6, 9 et 11 mois), le directeur de l'Ehpad François 1er, agissant comme un hobereau dans son fief, impose une évaluation journalière qui suinte la perversion (voir l'imprimé d'évaluation mis en place à François 1er).
⛔ Méthodes de management controversées et impacts négatifs
C'est la chasse permanente aux temps morts, une parcellisation des tâches et l’assignation d’objectifs individuels assortis d’une évaluation continue où la réalisation des objectifs imposés est constamment contrôlée.
Cette méthode, qui incite à la délation, conjuguée aux réductions d’effectifs et aux réorganisations successives, engendre :
Mal-être
Stress
Sentiment d’exclusion
...et comprend un risque important pour la santé des agents.
⛔ Oubli total des droits des stagiaires
Jamais, les droits des stagiaires ne sont évoqués :
Choix de l'horaire
Congés
RTT
Droit aux primes
Droit à l'information syndicale
Droit à la formation...
Tout est fait pour les mettre en concurrence et leur laisser espérer une titularisation après 12 mois.
⛔ Abus de pouvoir par la prolongation de stage
Un constat dans le temps : le directeur de l'Ehpad François 1er est le champion du monde de la prolongation de stage et il l'utilise systématiquement pour essayer d’asseoir son autorité en instillant la crainte parmi les stagiaires.
Ce comportement et cette inégalité de traitement doivent cesser ! L'Ehpad François 1er n'est pas au-dessus des règlements applicables partout ailleurs ! La DRH doit intervenir immédiatement et recadrer.
👉 Réagir sur cet article (utiliser l'alerte CGT)
► Plus d'infos pour les stagiaires, consulter le guide CGT CASVP sur les droits des stagiaires (lien...)