23 septembre 2010

LA GREVE !

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Fortes de la réussite exceptionnelle du 7 septembre, les organisations syndicales de la Fonction publique - CFDT-CGC-CFTC-CGT-FSU-UNSA - considèrent que les annonces du Président de la République, qui se voulaient une réponse aux mobilisations, ne modifient pas le caractère injuste et inacceptable de la réforme proposée.

Réunies le 9 septembre 2010, les organisations syndicales de la Fonction publique décident, dans le cadre de l’appel interprofessionnel du 8 septembre, de poursuivre et d’amplifier le processus de mobilisation pour obtenir des mesures justes et efficaces afin d’assurer la pérennité du système de retraites par répartition. Elles appellent à faire du mercredi 15 septembre, jour du vote par les députés du projet de loi, une journée forte d’initiatives et d’interpellations des députés, des membres du gouvernement et du Président de la République dans les départements et les circonscriptions.

Avant le débat au Sénat, elles appellent les fonctionnaires et les agents publics à participer massivement à la grande journée unitaire et interprofessionnelle de grèves et de manifestations du jeudi 23 septembre.

Au CASVP les agents sont couverts par un préavis de grève du 15 au 23 septembre 2010.

Une énorme mobilisation qui va compter

La mobilisation interprofessionnelle des salariés du 7 septembre 2010 à l’appel de l’ensemble des syndicats est d’une ampleur inégalée depuis de nombreuses années.

La CGT a recensé 2 735 000 manifestants dans 213 manifestations. A Paris et à Marseille, l’affluence dans les cortèges a nécessité d’ouvrir deux itinéraires de manifestations. Dans plusieurs départements, les manifestations ont dû être annulées ou écourtées du fait des intempéries.

La puissance de cette journée revendicative s’illustre aussi par un plus grand nombre d’entreprises où les salariés ont décidé de faire grève en tout ou partie de la journée.

Ce sont plusieurs millions de salariés du privé et du public, de toutes générations, qui se sont mobilisés pour défendre leur retraite solidaire avec le maintien du droit au départ à 60 ans.

IMMIXTION !

CAP d’AVANCEMENT
au GRADE DE SECRETAIRE ADMINISTRATIF

La liste des 6 agents promus sur les 409 promouvables vient d’être publiée.

Madame la Directrice Générale acceptez-vous qu’on vous «grille» dans la file d’attente quand vous allez chez le boulanger ?

La CGT affirme que la direction générale du CASVP promeut qui bon lui semble et agit en totale ingérence dans les CAP d’avancement en imposant la nomination d’agents protégés qui devraient attendre leur tour !

Comment expliquer qu’une CAP d’avancement de grade puisse valider la promotion d’un adjoint administratif principal de 2ème classe au grade de secrétaire administratif avant même qu’il soit promu principal de 1ère classe ?

Comment expliquer qu’un agent ayant seulement 13 ans d’ancienneté, proche du numéro 400 sur la liste soit promu avant des collègues (excellemment notés) ayant plus de 39 ans d’ancienneté ?

Le service public devrait être le premier à donner l’exemple en matière de citoyenneté active et de justice sociale.

Les agents spoliés dans leur promotion qui partiront à la retraite après toute un vie de travail au service du Centre d’Action Sociale, sans avoir eu l’avancement de grade qu’ils étaient en droit d’attendre apprécieront…

Tous les agents « grillés » dans la file d’attente hypothéquant ainsi leur promotion dans les années à venir ont des raisons d’être furieux et de crier à l’injustice…

LA CGT DENONCE DES NOMINATIONS QUI NE TIENNENT AUCUN COMPTE DE L’ANCIENNETE DES AGENTS ?

C’est la manière de promouvoir du CASVP qui est ici mise en cause par la CGT et notamment le manque de respect dus aux anciens.

La CGT vient de demander le 12/07/2010 (courrier joint) à la direction générale qu’un minimum de transparence s’instaure en ce qui concerne les CAP d’avancement de grade, notamment par la publication des listes des agents promouvables.

Faute d’engagements de la direction nous envisageons à l’avenir de ne plus participer à ces CAP.

Courrier adressé le 12/07/2010 à la Directrice générale du CASVP

Madame Laure de la BRETECHE
Directrice générale du CAS-VP
5, Bd Diderot - 75012 - Paris

Tableaux d’avancement de grade :

1) demande de publication de la liste des agents promouvables
2) communication aux agents de la copie de la « fiche navette »

Madame,

1) demande de publication de la liste des agents promouvables

Les listes de tous les agents remplissant les conditions pour être promouvables présentées en CAP et préalables à la fixation des tableaux d’avancement de grade sont actuellement diffusées de manière très restrictives (directeurs d’établissements, élus du personnel, organisations syndicales).

Les agents promouvables n’ont donc à ce jour aucun moyen de contrôle de leur inscription effective sur ces listes, et en cas d’oubli de la part de l’administration ils sont très pénalisés puisqu’ils sont d’emblée écartés de toute promotion.

La CGT vous demande de bien vouloir, pour l’année 2011 publier ces listes (affichage dans les UGD et sur l’intranet), à la fois par ordre alphabétique et par ordre d'ancienneté (durée des services effectifs, date d'entrée dans la fonction publique).

Cette publication permettra d’éviter à l’avenir des contentieux liés à la non inscription d’agents qui auraient dû y figurer puisqu’ils pourront vérifier s’ils sont effectivement inscrits.

2) communication aux agents de la copie de la «fiche navette»

A ce jour, aucun agent ne sait s'il est ou non proposé à l'avancement, ni de quelle façon (très favorable, favorable, défavorable).

Afin d'instaurer un minimum de transparence sur cette question, nous demandons que l'agent promouvable soit destinataire de sa fiche navette de proposition avant la réunion de la CAP.

Veuillez agréer, Madame, l’expression de nos salutations distinguées.
Pour le syndicat CGT du CASVP

Le flop prévisible du "RSA Jeunes"

L’annonce du gouvernement relative à l’extension du bénéfice du RSA aux jeunes de moins de 25 ans à de quoi laisser dubitatif. En effet, les conditions d’ouverture des droits sont si draconiennes que très peu de jeunes pourront bénéficier de cette mesure. Combien sont ils à pouvoir revendiquer deux ans d’activité en équivalent temps plein au cours des trois dernières années ? Le ministre de la Jeunesse et des Solidarités ne se risque surtout pas à avancer un chiffre. Ce qui est sûr, c’est que le gouvernement n’a pour l’heure budgété que 20 millions d’euros. Bien loin des 250 millions d’euros annuels évoqués par l’Elysée il y a un an. Le « RSA jeunes » a donc toutes les chances de connaître le même flop que la prime instaurée en faveur des jeunes chômeurs l’an passé. Encore une fois, le gouvernement semble plus préoccupé à faire de l’agitation médiatique qu’à s’atteler à apporter une réelle solution aux problèmes des jeunes.

Faut il rappeler que la jeunesse française est l’une des plus maltraitée d’Europe ? La CGT continue de revendiquer la création d’un revenu d’insertion permettant aux jeunes chômeurs de s’inscrire dans une démarche active de recherche d’emploi. Un accompagnement plus soutenu de la part du service public de l’emploi, de vraies offres de formation et des dispositions pour faciliter leur droit au logement sont autant d’éléments qui favoriseraient l’insertion durable des jeunes sur le marché du travail.

Mais encore, il conviendrait de commencer par remettre en cause les dispositions qui contribuent à barrer le chemin des jeunes dans l’accès à l’emploi. Qu’il s’agisse des heures supplémentaires défiscalisées, du non remplacement des fonctionnaires partant à la retraite ou de la volonté de reporter l’âge légal du départ en retraite, ces mesures constituent bien un manque à gagner de plusieurs centaines de milliers d’emplois pour les jeunes. Il est grand temps que le gouvernement change son fusil d’épaule pour créer de vraies solidarités entre les générations et éviter ainsi de sacrifier sa jeunesse.

La CGT invite les jeunes à prendre leur destin en main en participant massivement à la grande journée nationale interprofessionnelle d’actions du 7 septembre. L’avenir du pays exige des emplois durables et a plein temps pour les jeunes et non un simulacre d’aumône !

RSA jeunes – mode d’emploi

Destiné aux jeunes de 18-25 ans ayant travaillé au moins 3214 heures sur trois ans. Soit deux années à temps plein dans les trois dernières précédant la demande.

«Toutes les périodes d'activité salariées ou non salariées sont prises en compte». A savoir les contrats en alternance, en apprentissage, les CDD, CDI ou encore missions d'intérim. Les périodes de stages, de volontariat, de service civil ne sont en revanche pas intégrées. Quant aux périodes de chômage indemnisé, mais aussi celles sous convention de reclassement personnalisé (CRP) et sous contrat de transition professionnelle (CTP), elles sont neutralisées dans la limite de six mois, augmentant ainsi la période de référence à 3,5 ans, au plus.

460 euros par mois

Le montant du «RSA jeune» est établi sur les mêmes bases que le RSA et donc calculé en fonction des revenus et de la situation familiale. Concrètement, un jeune de moins de 25 ans sans activité et sans autre ressource ayant travaillé deux ans et épuisé ses droits à l'allocation chômage percevra une allocation de 460 euros par mois. Quant à un jeune en activité ayant deux ans d'expérience et qui perçoit 500 euros de revenus par mois sans autre ressource, il percevra un RSA de 215 euros par mois.

Retraites

Rien n’est joué !
Le 7 septembre, imposons nos revendications !

Départ de la manifestation
République à 14h00

Communiqué commun de l’intersyndicale CFDT, CFTC, CFE.CGC, CGT, FSU, SOLIDAIRES, UNSA le 23 août 2010

Après les fortes mobilisations du premier semestre, et notamment le 24 juin dernier, les multiples initiatives qui ont ponctué l’été, montrent la détermination des salariés à faire entendre leurs revendications et leurs propositions concernant le projet de réforme des retraites dont le contenu est injuste et inacceptable.

La période estivale a été marquée par la persistance de la crise économique et sociale - la situation du chômage s’aggravant encore notamment pour les jeunes - et par l’annonce de mesures de rigueur supportées essentiellement par l’ensemble des salariés. Le gouvernement poursuit une politique inadaptée en terme d’emplois et de pouvoir d’achat qui accroît les inégalités.

Au moment où le projet de réforme des retraites va être examiné par le parlement, les organisations syndicales rappellent leur ferme opposition à celui-ci. Cette réforme ne répond pas aux enjeux actuels. Les questions d’emploi notamment pour les jeunes et les seniors, celles des inégalités hommes-femmes, de la pénibilité, d’un financement durable appuyé sur une autre répartition des richesses produites, non seulement ne sont pas traitées, mais font porter à plus de 85% les efforts sur les salariés.

La remise en cause des 60 ans avec le report à 62 et 67 ans des âges légaux va fortement pénaliser les salariés et notamment ceux ayant commencé à travailler jeunes, ceux ayant des carrières chaotiques et incomplètes, en particulier les femmes.

Les organisations syndicales considèrent aujourd’hui que rien n’est joué et appellent tous les salariés du privé et du public, les demandeurs d’emploi, les jeunes et les retraités à poursuivre la construction d’une mobilisation de grande ampleur et à faire du 7 septembre prochain une journée massive de grèves et de manifestations.

Le gouvernement et les parlementaires doivent entendre la mobilisation des salariés et répondre à leurs revendications pour d’autres choix en matière de retraites, d’emploi et de pouvoir d’achat. Les organisations syndicales se réuniront dès le 8 septembre pour analyser la situation et décider des suites unitaires à donner rapidement à la mobilisation.

● Charte de la mobilité au Centre d'Action Sociale de la Ville de Paris

Préambule

Dans le cadre des dispositions de la charte du dialogue social au Centre d’Action Sociale de la ville de Paris (CAS-VP) signée le 4 juillet 2008, l’administration et les organisations syndicales signataires du CAS-VP ont décidé de mener un travail commun sur le sujet de la mobilité.

Après un travail initial de réflexion sur la notion de mobilité, une définition des objectifs possibles mais aussi des éventuels freins, la réalisation d’un bilan qualitatif et chiffré de cette mobilité au CAS-VP, la présente charte a pour objet de dégager des objectifs et définir des règles et des modes d’accompagnement des agents destinés à faciliter sa mobilité au CAS-VP et au sein du groupe «Ville».

LE MAL ÊTRE AU TRAVAIL

Les chefs d’établissements sont responsables de l’équilibre social et doivent s’assurer du bien être des agents.

La direction générale refuse la notion de harcèlement, préfère «excuser» les responsables en invoquant des erreurs de management, des formations mal adaptées, ou des mauvaises ententes entre collègues.

Pourtant, le climat social continue à se détériorer, la notion de solidarité existe de moins en moins et les valeurs collectives se perdent. L’individualisme remplace le lien collectif et social d’origine.

Dans certains établissements, les droits élémentaires sont bafoués par un petit groupe qui est devenu intouchable. Certains agissent comme des monarques et considèrent les collègues et les établissements comme leurs propriétés.

Ils oublient qu’ils sont agents de la fonction publique comme tous les autres salariés du CASVP. Ils ont fait le choix de régner en maître ou en délateur. Tout dialogue social est refusé, ils développent des relations indignes de leurs fonctions, se procurant parfois même des faux témoignages pour caractériser leurs méfaits.

Tandis que ces agents continuent à exercer leur pouvoir, d’autres agents continuent à subir leurs assauts.

Ces situations malsaines ne font que porter préjudice au plus grand nombre d’entre nous et au bon fonctionnement des établissements.

La maltraitance institutionnelle s’instaure. Des suspicions sous différents aspects se développent. Les agents deviennent des cibles, les lettres d’observations, les avertissements, les blâmes, les témoignages et pétitions contre les agents, les sanctions disciplinaires s’accroissent sans que rien ne change.

Le surcroit de travail se multiplie. Les salariés, usés, fatigués par un travail trop lourd dû au sous effectif, sont découragés. Le stress et le mal être conduisent à la démotivation des agents.

L’établissement, les salariés, les résidants sont pris en otage.

Rien n’est fait pour les arrêter dans leurs agissements. A ce jour, malgré les plaintes des agents, aucune sanction n’est prise contre eux.

L’administration ne peut plus les ignorer, car depuis la mise en place du comité d’harcèlement les agents soutenus par la CGT demandent la saisine de cette commission.

Mais ils sont le plus souvent contraints de changer d’établissement pour atténuer leur souffrance. Cela étant et pour en rajouter, ils rencontrent beaucoup de difficultés pour trouver un nouveau poste.

Pour d’autres, la seule solution pour sortir de ce climat délétère est l’arrêt maladie, mais cela ne fait qu’aggraver leur situation de victimes de ce système instauré. Au niveau physique et psychique les arrêts maladie, la dépression, le mal être..., ne font qu’empirer leur situation. Au niveau financier, ils subissent une perte de salaire, l’abattement sur les primes, le demi-traitement…

Enfin, plus grave encore, ce système instauré finit par opposer les salariés !

Les agents qui sont déjà en souffrance subissent en plus l’incompréhension de leurs collègues :

Certains dénoncent l’excès d’arrêts maladie pris par quelques uns. Ils ont raz le bol de devoir pallier à leurs absences avec un surcroit de travail dont ils se passeraient bien, sans compter les refus de congés pour nécessités de service (C.A, RTT, etc.…), la polyvalence imposée avec menace de sanction en cas de refus.

Mais qui est vraiment responsable et se sert de ce système opposant les salariés entre eux ???

LA CGT PROPOSE DE RÉAGIR
AVEC L’AIDE D’UN QUESTIONNAIRE
ANONYME SUR VOS CONDITIONS DE TRAVAIL

Rayez la mention inutile

Considérez-vous vos conditions de travail :
  • Bonnes
  • Moyennes
  • Mauvaises

Votre santé
Selon vous, vos conditions de travail ont elles engendré des conséquences sur votre état de santé :
  • Oui
  • Non

Si oui, de quel type :
  • Maux de tête
  • Trouble de sommeil
  • Stress
  • Autre (précisez)………………………

Avez-vous ou faites-vous l’objet d’un traitement médical à ce sujet :
  • Oui
  • Non

Organisation du Travail
Communication - Encadrement



Considérez-vous suffisant :

La confiance que vous accorde votre supérieur hiérarchique :
  • Oui
  • Non
La reconnaissance de votre supérieur hiérarchique :
  • Oui
  • Non

Estimez-vous que votre supérieur hiérarchique assume ses responsabilités :
  • Oui
  • Non

Etes-vous en conflit avec votre supérieur hiérarchique :
  • Oui
  • Non

Etes-vous en conflit avec vos collègues :
  • Oui
  • Non



Votre supérieur hiérarchique vous demande t-il des informations sur le travail des collègues :
  • Oui
  • Non
Principaux motifs d’insatisfaction :
  • Pression de la hiérarchie
  • Agressivité des usagers, des résidents
  • Charge de travail trop importante
  • Rythme de travail élevé
  • Harcèlement moral
  • Harcèlement sexuel
  • Manque de considération
  • Formation insuffisante
  • Manque de reconnaissance
  • Manque d’informations
  • Effectifs insuffisants
  • Mauvaises ambiances
  • Mauvaises conditions matérielles

Les arrêts maladie
Pour quelles raisons?
  • le manque de motivation
  • le manque de reconnaissance
  • les pressions
  • la seule solution
  • Autre (précisez)………………………………………….

Conclusions

Avez-vous le sentiment que votre employeur s’occupe correctement

de vos conditions de travail
  • Oui
  • Non

du suivi de votre carrière
  • Oui
  • Non

Vos commentaires
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A remettre à un militant CGT, à faxer au 01 53 62 94 25 ou à renvoyer par courrier sous enveloppe à la CGT CASVP 23 25, rue Bobillot 75013 Paris

AGENTS SOCIAUX du Centre d’Action Sociale de la Ville de Paris

EXAMEN PROFESSIONNEL 2010
80%
DE REUSSITE !
(270 candidats, 218 admis).

BRAVO A TOUS LES LAUREATS !

  • Les résultats de l’examen professionnel du 25/06/2010 seront entérinés par la CAP des agents sociaux qui se réunira en septembre 2010. Tous les agents ayant réussi l'examen seront promus du fait d'un ratio d'avancement suffisant.
  • Pour les agents qui remplissaient les conditions pour se présenter à l’examen au 1/01/2010 (4ème échelon et 3 ans de service dans le grade), la date d’effet du passage au grade d’agent social de 1ère classe sera le 1/01/2010
  • Pour les autres, la date d’effet est celle à laquelle l’agent remplissait les conditions pour se présenter à l’examen.
  • Un rappel sera donc versé à partir de la date d’effet.
  • Le reclassement de l’échelle 3 (agent social de 2ème classe) à l’échelle 4 (agent social de 1ère classe) s’effectuera d’échelon à échelon (exemple : un agent de 2ème classe au 6ème échelon sera reclassé au 6ème échelon d’agent social de 1ère classe, soit un gain de 51 euros par mois).

POUR LES COLLEGUES NON ADMIS

Pas de fatalité, La CGT organisera une session de formation pour la préparation à l’examen 2011 au cours du 1er semestre 2011. Cette formation aura lieu sur le temps de travail dans le cadre de la formation syndicale (vous pouvez déjà vous inscrire en appelant au 01 53 80 97 60).

POUR LES COLLEGUES AYANT ATTEINT LE 7ème ECHELON, NON INSCRITS A L'EXAMEN OU AYANT ECHOUE

  • La CAP de septembre 2010 donnera un avis sur la promotion des agents sociaux de 2ème classe ayant atteint le 7ème échelon et comptant au moins dix ans de services effectifs dans leur grade. La recommandation du directeur de l'établissement va ici jouer un rôle important pour la promotion.
  • Cette promotion au choix ne concerne pas les agents sociaux au 7ème échelon ayant réussi l’examen professionnel.

EXAMEN 2011, IL FAUT INCITER LES COLLEGUES A SUIVRE LA FORMATION DISPENSEE PAR LA CGT

Une aide à la préparation de l'examen 2011 sera faite par la CGT dans le mois précédent celui-ci.
Inscrivez-vous dès maintenant à la formation CGT :

  • par téléphone au 01 53 80 97 60,
  • par courrier (formation ouverte à tous).

Des formations de préparation et de remises à niveau sont aussi organisées par le CASVP, il ne faut pas hésiter à s'y inscrire (appeler le correspondant formation de votre établissement ou La CGT qui pourra vous donner tous les renseignements).

Bulletin d’inscription à la formation CGT
(Formation d’une journée
sur le temps de travail et rémunérée
)

Nom :
Prénom :
Lieu de travail : SOI :

Adresse
Téléphone portable ou personnel :
Adresse mail (facultatif) :

L'AVANCEMENT DE GRADE DES AGENTS SOCIAUX,
C'EST NOTRE AFFAIRE A TOUS.
VOUS AVEZ FAIT CONFIANCE
A LA CGT SUR LA QUESTION.
VOUS AVEZ EU RAISON.

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AVANCEMENT DE GRADE DES ADJOINTS ADMINISTRATIFS

CAP D’AVANCEMENT DE GRADE du 28/06/2010
Un taux de promotion très insuffisant qui met en difficulté les représentants du personnel !