
Bonjour,
A vos marques, prêts, partez ! Le mois de mai est là et avec lui son lot de revendications auxquelles le gouvernement et l’administration parisienne ne répondent pas. Mais, la CGT est tenace, et on n’est pas seuls. On a des centaines de milliers d’agents de la Fonction publique avec nous.
Déjà, on va parler salaires. On sait, nous sommes insistants avec ça, mais c’est un sujet central, essentiel et vital pour nous. On en a marre de voir nos collègues galérer pendant dix ans au SMIC. On veut le point d’indice à 6 euros. On vous entend déjà nous dire que ce n’est pas ici que ça se décide. Mais vous êtes notre employeur, et à ce titre, vous pouvez demander publiquement au gouvernement d’augmenter le salaire de vos agents en augmentant le point d’indice.
Par ailleurs, une enveloppe est à la main de la Ville de Paris et permet de mettre du beurre dans les épinards : le RIFSEEP. C’est un acronyme bien compliqué pour dire une chose simple. Ce sont nos primes. Et c’est la saison pour en parler puisque les évaluations annuelles commencent. On veut de la transparence sur les critères d’attribution du CIA. On en a marre que dans les services il soit dit que la décision n’est prise par personne. On veut qu’il soit assumé dans chaque établissement : qui prend la décision du taux directeur dans chaque établissement ?
Par ailleurs, la CGT vous rappelle que le montant minimum de l’IFSE pour les adjoints techniques est trop faible. Il n’est pas compréhensible qu’il soit inférieur à celui des adjoints administratifs. On l’a déjà dit, mais on demande l’alignement par le haut des montants minimums garantis pour l’IFSE pour les catégories C, les catégories B et les catégories A.
Comme on parle argent. On va continuer sur la prime qui a pris le nom d’APS annuelle.
A vos marques, prêts, partez ! Le mois de mai est là et avec lui son lot de revendications auxquelles le gouvernement et l’administration parisienne ne répondent pas. Mais, la CGT est tenace, et on n’est pas seuls. On a des centaines de milliers d’agents de la Fonction publique avec nous.
Déjà, on va parler salaires. On sait, nous sommes insistants avec ça, mais c’est un sujet central, essentiel et vital pour nous. On en a marre de voir nos collègues galérer pendant dix ans au SMIC. On veut le point d’indice à 6 euros. On vous entend déjà nous dire que ce n’est pas ici que ça se décide. Mais vous êtes notre employeur, et à ce titre, vous pouvez demander publiquement au gouvernement d’augmenter le salaire de vos agents en augmentant le point d’indice.
Par ailleurs, une enveloppe est à la main de la Ville de Paris et permet de mettre du beurre dans les épinards : le RIFSEEP. C’est un acronyme bien compliqué pour dire une chose simple. Ce sont nos primes. Et c’est la saison pour en parler puisque les évaluations annuelles commencent. On veut de la transparence sur les critères d’attribution du CIA. On en a marre que dans les services il soit dit que la décision n’est prise par personne. On veut qu’il soit assumé dans chaque établissement : qui prend la décision du taux directeur dans chaque établissement ?
Par ailleurs, la CGT vous rappelle que le montant minimum de l’IFSE pour les adjoints techniques est trop faible. Il n’est pas compréhensible qu’il soit inférieur à celui des adjoints administratifs. On l’a déjà dit, mais on demande l’alignement par le haut des montants minimums garantis pour l’IFSE pour les catégories C, les catégories B et les catégories A.
Comme on parle argent. On va continuer sur la prime qui a pris le nom d’APS annuelle.
On insiste : elle ne peut pas disparaître du mois de janvier. Vu le montant de nos salaires et les dates de paie en décembre et en janvier, on a besoin d’une prime d’au moins 300 euros au mois de janvier. C’est quoi le signal que vous nous envoyez : nos salaires stagnent, se tassent, nos niveaux de vie baissent et vous supprimez une prime annuelle ? Ca ne passe pas. D’autant plus, que quand on regarde les dernières années, on a déjà trop perdu. Vous nous dites que vous défendez les agents du CASVP, prouvez-le.
Ce que vous appelez la campagne d’évaluation annuelle va commencé. Nous serons vigilants à ce que les entretiens ne soient pas l’occasion de régler des comptes. Nous demandons que ce soit le moment pour être transparent notamment sur l’attribution des primes, parce que si le CASVP pense qu’on est un «bon» agent, ça doit se payer.
Il en va de même pour les avancements. Nous demandons au CASVP de se battre auprès de la Ville pour que les ratios promus/promouvables soient à 100 % pour les catégories B et C pour la prochaine période. Pour les catégories A, nous revendiquons toujours que les ratios promus/promouvables soient à 100 %. Dans l’attente pour cette année, l’évaluation annuelle est aussi le moment pour l’encadrant d’être transparent sur la demande d’avancement de grade.
La CGT rappelle sa demande que les listes de promouvables soient envoyées aux organisations syndicales et aux élus CAP.
Ce que vous appelez la campagne d’évaluation annuelle va commencé. Nous serons vigilants à ce que les entretiens ne soient pas l’occasion de régler des comptes. Nous demandons que ce soit le moment pour être transparent notamment sur l’attribution des primes, parce que si le CASVP pense qu’on est un «bon» agent, ça doit se payer.
Il en va de même pour les avancements. Nous demandons au CASVP de se battre auprès de la Ville pour que les ratios promus/promouvables soient à 100 % pour les catégories B et C pour la prochaine période. Pour les catégories A, nous revendiquons toujours que les ratios promus/promouvables soient à 100 %. Dans l’attente pour cette année, l’évaluation annuelle est aussi le moment pour l’encadrant d’être transparent sur la demande d’avancement de grade.
La CGT rappelle sa demande que les listes de promouvables soient envoyées aux organisations syndicales et aux élus CAP.
Il y a des collègues de l’EPS 9 qui devaient travailler le samedi. Nous vous rappelons que ce genre d’initiative doit passer en CST et nous vous disons que nous serons contre.
Par ailleurs, la CGT tient à vous rappeler que les changements dans les modalités de travail doivent passer en CST. La gestion de crises est normalement inscrite dans le plan de continuité de l’activité. Il n’est donc pas compréhensible pour nous d’être informés par les agents de l’EPS 11 qu’ils doivent faire un «accueil» à l’extérieur du bâtiment parce que le bâtiment est jugé trop dangereux pour accueillir du public en raison d’un problème d’alarme incendie. Même dans ce cas-là, il n’est pas acceptable qu’un accueil soit fait à l’extérieur du bâtiment par des agents.
La question des moyens est toujours centrale pour la CGT. Des moyens humains et des problèmes matériels. La situation de l’EPS 11 est symptomatique de la situation du CASVP. Comme on ne remplit pas les conditions de sécurité pour accueillir du public, on demande aux agents de faire un accueil dehors, dans des conditions lamentables, sans ordinateur. Un accueil téléphonique avec des moyens humains aurait été de bien meilleure qualité que ça.
Dans les EHPAD, la situation n’en est pas moins problématique. La CGT avait salué les créations de postes, mais 6 mois après, les recrutements ne sont toujours pas au rendez-vous. On vous entend déjà nous dire «on essaye mais on n’y arrive pas». Comme le dit maître Chiffou dans Kung fu Panda, «n'essayez pas, réussissez». A vous de mettre les moyens en œuvre pour y arriver. Et nous refuser des négociations sur l’attractivité spécifiquement en EHPAD ne va pas dans le bon sens.
La CGT se bat sans relâche pour les agents des corps fusionnés. En ce moment même, ce 16 mai, la CGT négocie pour une amélioration de la situation des agents de catégorie B de la filière technique. La CGT se bat pour que la filière administrative soit incluse dans ces négociations. Nous exigeons que les mesures gagnées par la CGT à la Ville de Paris pour les catégories B soient immédiatement appliquées au CASVP. Nous rappelons que ce cycle de négociations est issu des luttes de la CGT à la Ville. Il est temps de mettre en lumière les filières oubliées, méprisées, exclues du Ségur et de toute forme de revalorisation indemnitaire depuis des années.
On vous rappelle que le statut de fonctionnaire est important pour nous. Nous vous demandons expressément de le faire respecter. Sur chaque poste vacant, surtout pour les catégories C, on veut un titulaire ou un stagiaire. On vous le dit avec insistance : on sera toujours là pour défendre les agents du CASVP.
Par ailleurs, la CGT tient à vous rappeler que les changements dans les modalités de travail doivent passer en CST. La gestion de crises est normalement inscrite dans le plan de continuité de l’activité. Il n’est donc pas compréhensible pour nous d’être informés par les agents de l’EPS 11 qu’ils doivent faire un «accueil» à l’extérieur du bâtiment parce que le bâtiment est jugé trop dangereux pour accueillir du public en raison d’un problème d’alarme incendie. Même dans ce cas-là, il n’est pas acceptable qu’un accueil soit fait à l’extérieur du bâtiment par des agents.
La question des moyens est toujours centrale pour la CGT. Des moyens humains et des problèmes matériels. La situation de l’EPS 11 est symptomatique de la situation du CASVP. Comme on ne remplit pas les conditions de sécurité pour accueillir du public, on demande aux agents de faire un accueil dehors, dans des conditions lamentables, sans ordinateur. Un accueil téléphonique avec des moyens humains aurait été de bien meilleure qualité que ça.
Dans les EHPAD, la situation n’en est pas moins problématique. La CGT avait salué les créations de postes, mais 6 mois après, les recrutements ne sont toujours pas au rendez-vous. On vous entend déjà nous dire «on essaye mais on n’y arrive pas». Comme le dit maître Chiffou dans Kung fu Panda, «n'essayez pas, réussissez». A vous de mettre les moyens en œuvre pour y arriver. Et nous refuser des négociations sur l’attractivité spécifiquement en EHPAD ne va pas dans le bon sens.
La CGT se bat sans relâche pour les agents des corps fusionnés. En ce moment même, ce 16 mai, la CGT négocie pour une amélioration de la situation des agents de catégorie B de la filière technique. La CGT se bat pour que la filière administrative soit incluse dans ces négociations. Nous exigeons que les mesures gagnées par la CGT à la Ville de Paris pour les catégories B soient immédiatement appliquées au CASVP. Nous rappelons que ce cycle de négociations est issu des luttes de la CGT à la Ville. Il est temps de mettre en lumière les filières oubliées, méprisées, exclues du Ségur et de toute forme de revalorisation indemnitaire depuis des années.
On vous rappelle que le statut de fonctionnaire est important pour nous. Nous vous demandons expressément de le faire respecter. Sur chaque poste vacant, surtout pour les catégories C, on veut un titulaire ou un stagiaire. On vous le dit avec insistance : on sera toujours là pour défendre les agents du CASVP.