200 personnes se sont rassemblées devant la Mairie du 20ème, le 14 septembre 2017 à l’appel de l’intersyndicale CGT-FO-SUPAP FSU- CFDT-SUD dans le cadre du mouvement « si tu l’ouvres, je te mute ».
Collègues de tous les arrondissements, du CASVP et des administrations parisiennes, partenaires, élus et citoyens concernés se sont joints aux agents du 20ème pour soutenir la collègue brutalement mutée en raison de ses engagements professionnels et syndicaux.
Une délégation a été reçue dans un premier temps par le cabinet de la Maire du XXème (absente bien qu’informée du mouvement). La mairie du XXème a informé la délégation qu’il ne lui était pas possible d’intervenir dans la gestion des ressources humaines du CASVP et l’a renvoyée vers sa directrice.
Dans un
second temps, les organisations syndicales ont été reçues par la directrice générale du CASVP, la directrice adjointe, la sous
directrice des interventions sociales, le chef du service des ressources humaines.
Lors de cette
rencontre, la directrice générale a assumé sa décision, qu’elle a elle-même qualifiée de
« trash ».
Le CASVP maintient son positionnement. Pour justifier cet acte de répression syndicale et de restriction de la libre expression des travailleurs sociaux, il n’hésite pas à accuser et salir la réputation d’un agent aux évaluations et états de service irréprochables.
Le CASVP maintient son positionnement. Pour justifier cet acte de répression syndicale et de restriction de la libre expression des travailleurs sociaux, il n’hésite pas à accuser et salir la réputation d’un agent aux évaluations et états de service irréprochables.
L’intersyndicale
a dénoncé la campagne de désinformation lancée par la direction du CASVP,
tendant à laisser penser que l’agent muté est fautif.
Rappelons que la libre expression et l’action syndicale sont des droits et non des fautes !
A défaut de pouvoir recourir à une sanction disciplinaire pour réprimer un agent n’ayant commis aucune faute, le CASVP n’hésite plus à prendre des mesures arbitraires.
Rappelons que la libre expression et l’action syndicale sont des droits et non des fautes !
A défaut de pouvoir recourir à une sanction disciplinaire pour réprimer un agent n’ayant commis aucune faute, le CASVP n’hésite plus à prendre des mesures arbitraires.
NE LAISSONS
PAS LE CASVP INSTALLER
L’INSECURITE PERMANENTE POUR TOUS LES AGENTS !
MOBILISONS
NOUS !
RASSEMBLEMENT
DEVANT DIDEROT
LE LUNDI 25 SEPTEMBRE À 12H00.
LE LUNDI 25 SEPTEMBRE À 12H00.
Préavis de
grève déposé pour la journée.
