- Des conditions de travail décentes (et sans amiante)
- Une prime de 140 € pour compenser la pénibilité de leurs missions
- Une prime mensuelle de 140 €
- Un déménagement temporaire le temps des travaux
Il avait affirmé que les agents n’avaient pas été exposés à l’amiante… avant qu’une étude indépendante ne démontre le contraire !
Et maintenant, il ne respecte même pas ses engagements sur les retraits de salaire liés à la grève.
Alors qu’il s’était engagé à limiter les retenues à 2 jours par mois, certains agents ont vu 8 jours retirés d’un seul coup, soit près de 300 € en moins sur leur paie, pour des collègues déjà proches du SMIC !
C’est inacceptable.
C’est une double peine : avoir dû se battre pour leurs droits, puis être sanctionnés financièrement au mépris des accords.
Le CASVP doit tenir ses engagements et assumer ses responsabilités.